face=Calibri size=3>En 1979

face=Calibri size=3>, avec quelques jeunes artistes, il initie, avec la revue Bato, œuvre d'art assemblagiste et collective, le mouvement « Figuration libre ». Une volonté de désacraliser l’art et de faire dans la peinture ce que le punk fait dans la musique : s’opposer farouchement à l’ordre établi. Ainsi, Robert Combas trouve son inspiration dans la bande dessinée, la publicité, la science-fiction, les enseignes nord-africaines, la télévision… et invente avec une insolente vitalité un univers complexe où se croisent Mickey et les grands poncifs de l’art, le rock et les mythologies antiques. Une iconographie ubuesque qui mêle la culture savante et la culture populaire pour « raconter la stupidité, la violence, la beauté, la haine, l’amour, le sérieux et le drôle, la logique et l’absurde qui entourent notre vie quotidienne ».